Mini lifting du visage

Mini lifting du visage, quels résultats attendre aprèsLe mini-lifting est de plus en plus pratiqué pour rajeunir le visage. Comme son nom l'indique, il s'agit d'un vrai lifting mais dont les suites sont beaucoup plus légères. Avec cette technique on peut opérer des femmes beaucoup plus jeunes qu'avec le lifting classique.

Quelles indications ?

L'objectif est de restaurer l'ovale du visage avec les petits relâchements au niveau des bajoues et le cou en enlevant l'excès de peau au niveau des fanons.

Quelle technique opératoire ?

Le mini-lifting utilise la technique du droit fil qui incise la peau de haut en bas un peu comme lorsqu'on coupe un tissu. La peau est également un « tissu » et les fibres sont disposées d'une certaine manière. Les chirurgiens appellent ça un plan. Quand on est dans le bon plan, on crée beaucoup moins de lésions et on a des suites beaucoup plus simples. Donc on va avoir mois de saignements et de bleus, on va avoir moins de gonflements, on va avoir moins de douleur.

L'intervention se fait sous anesthésie générale, elle dure en moyenne deux heures. On garde les patientes hospitalisées avec un gros pansement pendant une nuit.

Quelles suites ?

Le mini-lifting n'est pas une opération qui fait mal. De simples anti-douleurs suffisent à calmer les petits lancements sur le visage. Il y a quelques bleus et des gonflements pendant environ une semaine. C'est évidemment variable selon les personnes, en fonction de la façon dont la peau réagit. Certaines auront à peine quelques traces visibles tandis que d'autres seront un peu plus marquées.

Quel résultat ?

Le résultat est naturel, c'est-à-dire indétectable. Le regard ne change pas et la bouche n'est pas tirée. Vous allez vous reconnaître, votre famille et vos amis vont vous reconnaître et que l'on ne va pas vous plaindre.

A noter que cette technique est disponible à la Clinique des Champs-Elysées, spécialiste en chirurgie esthétique sur Paris. Découvrez toutes les informations pour rajeunir avec le lifting du visage sur le site de la CRPCE.